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L’ISLAM POUR L’HUMANITE JUSQU'A LA FIN DU MONDE / DEPUIS FEVRIER 2008

Sourate 2 (Al-Baqarah) V275à278 Intérêt usuraire et crise financière

30 Octobre 2009 , Rédigé par ribaat Publié dans #LE CORAN PAROLE D'ALLAH

Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux


Sourate 2 (Al-Baqarah) V275à278 Intérêt usuraire et crise financière

CORAN Parole d’Allah, Son Dernier Livre Révélé il y a déjà 1430 ans (2009) pour l’Humanité, abrogeant ceux précédemment.

Révélé après Hégire. Il y a 286 versets dans ce chapitre.


275. Ceux qui mangent [pratiquent] de l'intérêt usuraire ne se tiennent (au jour du Jugement dernier) que comme se tient celui que le toucher de Satan a bouleversé. Cela, parce qu'ils disent: ‹Le commerce est tout à fait comme l'intérêt› Alors qu'Allah a rendu licite le commerce, et illicite l'intérêt. Celui, donc, qui cesse dès que lui est venue une exhortation de son Seigneur, peut conserver ce qu'il a acquis auparavant; et son affaire dépend d'Allah. Mais quiconque récidive... alors les voilà, les gens du Feu! Ils y demeureront éternellement.

276. Allah anéantit l'intérêt usuraire et fait fructifier les aumônes. Et Allah n'aime pas le mécréant pécheur.

277. Ceux qui ont la foi, ont fait de bonnes œuvres, accompli la Salat et acquitté la Zakat, auront certes leur récompense auprès de leur Seigneur. Pas de crainte pour eux, et ils ne seront point affligés.

278. Ô les croyants! Craignez Allah; et renoncez au reliquat de l'intérêt usuraire, si vous êtes croyants.

 

Début de la fin pour l'empire Américain

 

Ibn Mohamed al maghribi

La crise financière annonce-t-elle la fin de l'hégémonie des Etats-Unis dans le monde ? De Caracas à Téhéran, on proclame que la crise signifie la chute de "l'empire" et les alliés de Washington voient l'émergence d'un monde multipolaire, rééquilibré par des puissances comme la Chine, l'Inde ou le Brésil.

(afp) - Les Américains le nient, leurs ennemis le donnent pour acquis et leurs alliés y pensent: la crise financière annonce la fin de l'hégémonie des Etats-Unis dans le monde.


La victoire échappe aux soldats en Irak et en Afghanistan, l'économie affronte une des pires crises depuis 1929 et le credo libéral est remis en question.


De Caracas à Téhéran, on proclame que la crise signifie la chute de "l'empire" et les alliés de Washington voient l'émergence d'un monde multipolaire, rééquilibré par des puissances comme la Chine, l'Inde ou le Brésil.


Peer Steinbrück, ministre allemand des Finances, a brisé un tabou il y a deux semaines en prédisant que les Etats-Unis allaient "perdre leur statut de superpuissance du système financier mondial", qui va devenir "multipolaire".
Dans un éditorial publié par le quotidien britannique The Observer, le politologue John Gray estime que "nous vivons un tournant géopolitique historique, dans lequel l'équilibre des pouvoirs sur la planète est irrévocablement modifié. L'ère de la domination américaine commencée avec la Seconde Guerre mondiale est terminée".


Certes, à l'heure de définir un nouvel ordre, les réponses claires manquent, et une majorité d'experts pensent que les Etats-Unis vont continuer à dominer la scène, ne serait-ce que par inertie. Mais ils ne pourront plus le faire seuls.


La liste des plus grosses fortunes du monde comprend moins d'Américains que dans le passé et a vu surgir en nombre des Russes, des Indiens ou des Mexicains. Mais tous conversent en anglais et les places de New York et Londres donnent le ton.


"Les Etats-Unis sont sans aucun doute encore la puissance dominante", déclare à l'AFP Nicholas Burns, 52 ans, professeur de politique internationale et de diplomatie à l'Université Harvard (nord-est) et ancien porte-parole du département d'Etat.


"Notre puissance militaire et notre influence politique n'ont pas de rivales", poursuit-il. "Et les Etats-Unis continuent à être la première puissance économique mondiale, avec des avantages comme la capacité d'innover, les biotechnologies ou les nanotechnologies".


Nicholas Burns reconnaît que la crise est devenue, dans la dernière phase de la course à la Maison Blanche entre le démocrate Barack Obama et le républicain John McCain, la "principale préoccupation stratégique" des Etats-Unis.


"Le grand défi pour le prochain président va être de diriger de manière plus efficace notre politique mondiale, en s'assurant des alliances dans chaque continent", souligne ce vétéran de la diplomatie nord-américaine.


Ce qui signifie que pour se maintenir au sommet, Washington devra dialoguer plus avec les autres puissances, par exemple dans l'enceinte de l'ONU.


"Nous avons besoin d'un réseau multilatéral plus fort pour nous attaquer aux grands problèmes mondiaux de l'économie, « du terrorisme » ou du changement climatique", estime-t-il.

Le retour des Etats-Unis au multilatéralisme implique la fin de la "doctrine Bush" inaugurée par l'actuel président George W. Bush et selon laquelle la superpuissance n'a besoin de personne pour exercer sa politique étrangère.


La crise bat aussi en brèche le "consensus de Washington", le credo libéral préconisé par les Etats-Unis à travers les organisations monétaires et financières mises en place par les accords de Bretton Woods.


La nationalisation de fait d'une partie du système financier américain n'a pas réussi à arrêter l'effondrement de Wall street, mais a été vécue comme une revanche par les pays qui ont fait la sourde oreille aux injonctions du Fonds monétaire international.


Certains risquent les thèses les plus audacieuses. Pour Raymond Lotta, politologue marxiste et auteur de "l'Amérique en déclin", "la crise se propage au monde entier, de manière explosive et imprévisible", et l'ampleur du plan de sauvetage des banques américaines (700 milliards de dollars) montre que c'est le système capitaliste tout entier qui est en danger.



Wa salam 3alaikoum



l'Envoyé d'Allah (Paix et Bénédiction d'Allah sur lui) disait: "Il n'y a de divinité à part Allah, l'Unique; Il a soutenu Ses troupes; a accordé la victoire à Son serviteur. Seul, Il a vaincu les Coalisés. Rien ne subsistera après Lui".

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